XYZT: la lumière dans tous ses états au Palais de la Découverte.

Le 9 juin, le Palais de la découverte entre dans une nouvelle dimension:
À la croisée entre mathématiques et art contemporain, les 10 installations présentées dans l’exposition donnent une interprétation originale des algorithmes, permettant de les «toucher» du doigt

Leurs concepteurs, Adrien Mondot et Claire Bardainne, créateurs de ces dix œuvres, offrent au visiteur une promenade dans la lumière, une traversée dans un univers numérique abstrait, composé de lignes, de points, de lettres…

Bouger des lettres avec la main ou marcher sur une rivière de lumière, le corps du visiteur est le déclencheur de ces installations. Une balade poétique, immersive et accessible à tous, petits et grands…

Ces éléments simples évoluent dans un univers en trois dimensions X(l’horizontale), Y (la verticale), Z (la profondeur), et se mettent en mouvement grâce à une 4e dimension, le temps T.

Si ces mondes paraissent naturels, c’est qu’ils s’inspirent des modèles physiques offrant une version simplifiée du monde qui nous entoure. Les concepts mathématiques et physiques, cachés derrière certaines installations, seront dévoilés par des médiateurs scientifiques au cours d’exposés en marge de l’exposition (2 exposés par jour, horaires à consulter sur palais-decouverte.fr).

Les 10 œuvres:
Anamorphose spatiale: l’anamorphose est une déformation réversible effectuée grâce à un procédé mathématique. Avec des gouttes, vagues ou ondulations, cette installation, étendue d’eau en perpétuel changement, se vit comme une balade sur une rivière.
Nuées mouvantes: le visiteur voit sa silhouette se transformer en un ensemble de petits traits, tels un essaim d’abeilles ou un vol d’étourneaux. Ils évoluent ensembles, instantanément, générant une expérience troublante.
Sable cinétique: provoquer une interaction entre des particules lumineuses et mouvantes à la surface d’un écran, c’est tout l’enjeu de cette étendue plate recouverte d’un sable réactif.
Champ de vecteurs: En marchant sur cette installation, le visiteur fait ployer l’herbe sous ses pas, laissant la trace éphémère de sa traversée.
Organismes typographiques: dans les aquariums, flottent des formes constituées à partir de lettres dont le mouvement suggère de petits animaux. Ils s’animent lorsque l’on souffle dessus, leur activité mélangeant alors langage et mouvement.
Coïncidence #1: d’obscures particules frémissantes recouvrent le mur. Balayées de la main, ces particules s’écartent comme les feuilles d’un arbre et laissent apparaître la lumière.
Paysages abstraits: dans les parois d’un cube transparent, un paysage de lettres irrigue l’espace. Nuages et vagues traversent le visiteur, le submergent, pour une plongée dans ce monde alphabétique en perpétuel mouvement.
Collisions discrètes: cet espace de jeu permet de jongler avec un alphabet soumis à la gravité. Dotées de poids et de rebonds, ces lettres virtuelles donnent, par entrechocs, une réelle sensation de matérialité.
Anamorphose temporelle: ce miroir agit sur la variable temporelle “T”. Il ne déforme ainsi que les objets en mouvement, alors habités d’une danse spectrale et fluide. Les éléments fixes restent identiques à la réalité.
Arbre à lettres: le vent peut-il composer des poèmes ? Un arbre grandeur nature est habillé de lettres qui se comportent comme des feuilles subissant les assauts du vent. Au passage des visiteurs, elles tombent au gré des rafales, dispersant le texte, et invitant à la contemplation. Cette installation est inspirée par le livre-objet de Raymond Queneau, “Cent mille milliards de poèmes”, qui offre au lecteur la possibilité de combiner lui-même des vers, de façon à composer des poèmes, selon Cent mille milliards de combinaisons possibles…

"XYZT, Les paysages abstraits", par la Compagnie Adrien M/Claire B, au Palais de la découverte Du 9 juin 2015 au 3 janvier 2016, Avenue Franklin Roosevelt – 75008 Paris. TLJ, sauf le lundi, de 9h30 à 18h, et le dimanche de 10h à 19h.

PLUS D’INFO: www.palais-decouverte.fr

Un nouveau 5* à Dinard : Le Castelbrac.

Un hôtel 5 étoiles s’invite dans une villa légendaire de Dinard.
La Villa Bric à Brac devenue l’hôtel Castelbrac
est riche d’une histoire exceptionnelle.

Construite par la famille anglaise Faber qui a fondé Dinard, la villa a vu se succéder pendant 130 ans un colonel anglais héros de la guerre de Crimée (Robert William Hamilton), puis la fine fleur de la recherche scientifique française du Muséum National d’Histoire Naturelle, le Commandant Jean-Baptiste Charcot.
 
Castelbrac vient d’ouvrir ses portes ce 8 juin 2015, avec 25 chambres et suites ,toutes décorées dans un style différent. Les hôtes de cette nouvelle adresse de Dinard pourront apprécier un restaurant Le "Pourquoi Pas?", un bar "L’Aquarium". L’hôtel disposera, par ailleurs,  d’une Suite Spa Thémaé, d’un couloir de nage, d’un solarium, et d’un centre de fitness.
 
La décoration de l’hôtel a été confiée à la décoratrice et designer Sandra Benhamou assistée de l’architecte d’intérieur Léonie Alma Mason. Elles ont réussi, nous dit-on, à créer un univers chaleureux, raffiné et intemporel inspiré des années 30… nous avons hâte de voir cela !
 
Les tarifs sont, en tout cas, bien dans la gamme annoncée:
Prix des chambres à partir de 270 € en chambre double et petit déjeuner.

PLUS D’info:  www.castelbrac.com

Ouverture du Jardin Ephémère de l’hôtel Renaissance d’Aix-en-Provence.

Le Jardin Ephémère, se présente comme la nouvelle adresse d’Aix-en-Provence et commele nouveau rendez-vous tendance des aixois, avec son espace lounge, sa terrasse, et son écrin de verdure, pour une parenthèse raffinée à toute heure de la journée. 

Véritable oasis de fraîcheur à quelques minutes du célèbre Cours Mirabeau, le Jardin Ephémère de l’hôtel Renaissance d’Aix-en-Provence accueille ses hôtes dans un univers élégant pour un pur moment de détente.

Situé dans le centre ville d’Aix-en-Provence, à quelques pas du cœur historique, de lieux culturels renommés et du Cours Mirabeau, l’hôtel invite à une expérience authentique mêlant design, art contemporain, gastronomie et bien-être.

Doté d’un Spa YMALIA, d’un bistrot chic, Le Comptoir du Clos, dirigé par le Chef Arnaud Davin, d’un Jardin Ephémère, espace design et cosy entre ville et verdure,  l’hôtel séduit par sa décoration inspirée des symboles aixois, ses nombreuses oeuvres d’art et sa localisation dans la ville au mille fontaines.

Le nouveau chef Arnaud Davin y décline des plats en parfaite adéquation avec cet espace design et cosy. Côté bar, on se laisse séduire par une carte de cocktails rafraîchissante où les grands classiques côtoient les créations du barman. Une alchimie qui semble plaisante, à vivre cet été sous la douce brise des soirées provençales.

Pourquoi pas ? Il faut essayer…
Ouvert du mardi au samedi inclus de 11h à 21h (susceptible d’évoluer).

RENAISSANCE AIX-EN-PROVENCE HOTEL- 320, avenue Wolfgang Amadeus Mozart – 13100 Aix-en-Provence.

PLUS D’INFO: www.renaissanceaixenprovencehotel.com

EKTA, le dernier né des hôtels parisiens: So Courrèges, so chic !

Nelly et Lionel Rolland (frère et soeur) dirigent "Great Hotels Paris", petit groupe hôtelier 100% français qui compte aujourd’hui 6 hôtels au coeur de Paris: l’hôtel Résidence Foch, La Manufacture, l’hôtel Galiléo, l’hôtel Terminus, l’hôtel Eiffel Turenne et l’hôtel Ekta. Leur dernier né, l’EKTA, sera délibérément différent de ce qui existe. D’ailleurs il ne se revendique pas dans les catégories supérieures selon la classification française. Et pourtant !…

Un esprit couture s’impose dès l’entrée de l’hôtel. L’escalier qui mène à l’accueil et au lobby est inspiré de l’escalier aux miroirs de la rue Cambon qui permettait à Coco Chanel d’observer chaque détail de la présentation de ses modèles. A gauche au pied de l’escalier, un grand écran diffuse un film de Guillaume Bourg mettant en scène des mannequins habillées de mini-robes et d’accessoires des années 70. Un lustre 3 Grand Cargo d’Hervé Langlais pour DesignHeure vient compléter cette introduction à l’univers de l’hôtel Ekta. Après l’escalier à droite, l’accueil est léger, épuré pour faciliter le premier contact… Le desk est constitué de deux cylindres blancs en corian, dominés par deux suspensions Discovolante de Paolo Grasselli pour Modo Luce.

Jean-Philippe Nuel et Natasha Stojkovic ont imaginé les chambres comme de jolis écrins au confort design et glamour, dans une dominante noir et blanc. Le mobilier blanc, tout en courbe, apporte une sensation de douceur dans un univers résolument graphique. Les têtes de lit signées Jean-Philippe Nuel sont surpîquées pour un effet sellerie, avec des liseuses intégrées de chez Marset. Un fauteuil jaune Cut de chez La Palma réchauffe la moquette grise et noire à motif patchwork et les rideaux en satin noir et blanc.

L’ensemble est éclairé par des lampes et des suspensions Petit Cargo de chez DesignHeure. Dans les suites, l’espace est animé de jeux de miroirs gravés en recto verso à partir de photos de Benjamin Deroche, incitant le visiteur à entrer dans une histoire. Pour une optimisation du confort, les canapés, de chez Dorelan, se transforment en 2 lits superposés.
Dans les salles de bain, des vasques cylindriques blanches de chez Alape réveillent le carrelage noir du sol et font un rappel au motif géométrique blanc du carrelage mural.

Les 25 chambres, dont 6 suites, certaines avec terrasse, sont équipées d’un mini bar, d’un plateau de courtoisie, d’une machine à café Nespresso, de peignoirs et de chaussons, d’une SMART TV, d’une station d’accueil pour smartphones, de la climatisation et d’un accès internet sans fil illimité et gratuit.
Tarifs: de 425 à 625 € la chambre (hors petits-déjeuners). Room service de 18 heures à minuit. Conciergerie. Blanchisserie. Parking: 30€/jour

Hôtel Ekta 52 rue Galilée 75008 Paris
T. + 33 (0) 1 53 76 09 05

PLUS D’INFO: http://www.hotelekta.com/fr/

Séjour à La Signoria, dans la baie de Calvi.

  Un printemps précoce au soleil généreux permettant les déjeuners au soleil en terrasse, les promenades sur la longue plage de Calvi, les excursions et randonnées à la découverte de la Balagne et les sorties en mer… la Corse s’impose comme destination idéale pour passer un week-end de printemps. La Signoria est l'une des plus…

Un nouveau 4* parisien aux allures très british.

Après une rénovation confiée au cabinet Axel Schoenert architectes et au studio de décoration European Design Office Consulting, le BEST WESTERN PREMIER Opéra Faubourg dévoile une décoration vintage et raffinée aux accents «so british». Acquis par Morgan Stanley Real Estate Investing et Paris Inn Group en 2013, cette nouvelle adresse parisienne du 9ème arrondissement vient rejoindre l’offre d’hôtels 4* signée Paris Inn Group.

Abrité par une façade haussmannienne entièrement rénovée et située Paris 9ème, le BEST WESTERN PREMIER Opéra Faubourg (anciennement hôtel "Jules"), vient donc de se muer en élégant boutique-hôtel aux notes vintage et british. Il offre une capacité de 103 chambres, qui se déclinent en deux ambiances: l’une résolument british, feutrée et contemporaine alors que la seconde se pare d’une atmosphère vintage et design inspirée des années 1950 à 1970.

Celles-ci se répartissent sur 6 niveaux selon 4 catégories: Standard, Supérieure, Deluxe et Junior Suite. Chaque chambre est équipée d’une télévision satellite à écran plat, du Wifi gratuit et de stations iHome pour iPhone, smartphone et autres tablettes. L’hôtel dispose d’un lobby, d’un bar ainsi que d’une salle des petits déjeuners (pas de restaurant).

A proximité immédiate des Gares du Nord, de l’Est et de Saint-Lazare et à deux pas de l’Opéra Garnier, des Grands Boulevards et des Grands Magasins, il offre une immersion totale dans les rues les plus animées de la capitale. Restaurants, bars, théâtres et clubs branchés foisonnent à quelques minutes à peine de la rue La Fayette ! Un bon point de départ pour de nombreuses promenades et activités touristiques, surtout pour le shopping
 
Le BEST WESTERN PREMIER Opéra Faubourg dévoile un univers à la fois feutré et pétillant, avec un grand souci du détail, comme ces statues de bouledogues aux coloris flashy qui côtoient chapeaux melons détournés en abat-jours et affiches de séries cultes anglaises des années 1960 et 1970…

BEST WESTERN PREMIER Opéra Faubourg: 49-51, rue La Fayette-75009- Paris
PLUS D’INFO: www.hotel-opera-faubourg-paris.com